chambrage délicat sur une 1873 Uberti

Ayant récemment réussi à refermer mes doigts crochus sur la 1873 acheté en 1990 à Baltard à mon instigation mais avec les sous de mon père, arme qu'il gardait depuis lors enroulé dans une couverture au fond d'un placard ( ), je me suis lancé gaillardement dans le rechargement de quelques 44-40 et suis parti l'essayer.

IL y a 26 ans, la belle avait fonctionné sans souci et tiré une vingtaine de manufacturée Winchester SP.

Las, mon premier essai au stand résulta en une suite d'enrayage (entendre, la cartouche dans l'élévateur est enclenchée sur la griffe d'extracteur en bout de culasse et refuse d'entrer dans la chambre.)

Après lecture de différents forum, j'ai appliqué la recette de Jeppesen qui conseillait de repasser les cartouches chargée dans le premier outil sans la tige de désamorçage ( )
Ce que je fis avec succès, reformant de jolie cartouches au collet bien marqué.

Un essai hier sur mon stand perso résulta en... un nouveau lamentable échec... Donc c'est pas ça.

Mes cartouches font 40.1 mm pour le 40.44 maxi donné par les tables de Halo.

L'un de vous a-t-il connu ces problèmes, ou en a-t-il entendu parler? Pourriez-vous m'aiguiller vers une solution possible.

(l'envoi postal à titre gracieux chez un gentil membre pour me débarrasser dudit problème n'étant pas envisageable pour raisons purement sentimentales )

Oui je vois, mon cher Freebird, ne pas garder quelque chose qui marche pas. Je t'envois donc mon adresse en MP, bon je paye le port !!!

Tu utilise quel type de d'ogives ? Le probleme se situe avant la chambre ou une fois la cartouche partiellement chambrée ?

ZR

Je n'utilise justement pas d'ogive, mais une balle entière, cylindro-ogivale tronquée, aussi appelée "flat point"

des balleurope 210 gr en .427

J'ai tiré toutes celles que j'avais repassées au premier outil hier au stand.
Un peu mieux pour l'alimentation à répétition, mais toujours un problème de balle qui bute à l'entrée de la chambre, soit en bas soit en haut selon la fermeté du maniement du levier...
Il me faut plaquer un peu le haut du culot contre la culasse avec un petit tournevis pour arriver à chambrer ou "branlouiller" (terme technique) le machin pour que ça daigne rentrer.

Pour le tir posé, je fais en monocoup, si jamais des indiens attaquent le stand, je crains de me retrouver en mauvaise posture. Help!!!